L’hymne de mon pays
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L’hymne de mon pays
Ce fil de discussion est ouvert pour présenter l’hymne national de votre pays. N’hésitez pas à copier la vidéo de votre hymne.
Pour la présentation, précisez qui en est l’auteur, quand et pourquoi cet hymne fut adopté par votre pays et en traduire les paroles si possible.
Pour la présentation, précisez qui en est l’auteur, quand et pourquoi cet hymne fut adopté par votre pays et en traduire les paroles si possible.
Re: L’hymne de mon pays
La lettre de l'Hymne National ils sont d'Emilio Prud`Homme et la musique de Josè Reyes. l'hymne a été créé par le Maître José Reyes en 1883, qui a demandé à Prud'Homme d'écrire quelques vers(poèmes) patriotiques qui accompagnaient ses compas. Cet hymne a été interprété pour la première fois le 17 août 1883 à Saint-Domingue, La musique a eu un succès instantané, tellement que quand les restes du libérateur de la République dominicaine, Juan Paul Duarte, ont été apportés depuis la Venezuela en 1884, elle sont étés choisie,
Avec les lettres le même n'a pas succédé(arrivé). Les lettres d'Emilio Prud'Homme contenaient des erreurs dans des références historiques et quelques défauts de métrique. Quelques intellectuels dominicains de l'époque ont critiqué ces lettres et même ont écrit les nouveaux vers(poèmes) qui accompagnaient la musique de l'hymne. En 1897, Emilio Prud'Homme a publiquement présenté une version corrigée de ses lettres originales, qui a fini avec les débats et a été acceptée par tous. Ce sont les actuelles lettres de l'hymne. La même année, le président Ulysse Heureaux a envoyé un projet de loi au Congrès pour adopter Quisqueyanos Valientes comme l'hymne national dominicain, et a commencé à s'employer dans toutes les occasions officielles, mais Heureaux a été assassiné,La convulsion extraordinaire politique du commencement du XXe siècle en République dominicaine a empêché que des actions étaient prises sur les symboles de la Patrie. Mais en 1934, sous le gouvernement de Raphaël Leónidas Trujillo, le Congrès a adopté la composition d'Emilio Prud'Homme avec la musique de José Reyes comme l'Hymne National dominicain.
Quisqueyens valeureux, élevons
Notre chant avec vive émotion
Et à la face du monde montrons
Notre étendard invaincu et glorieux.
Sauve le peuple qui, intrépide et fort,
S’est élancé à la guerre jusqu’à la mort
Quand un défi guerrier de mort
Brisa ses chaînes d’esclave.
Aucun peuple ne mérite d’être libre
S’il est esclave indolent et servile
Si dans son cœur une flamme ne brûle pas
Pour allumer l’héroïsme viril.
Mais Quisqueya l’indolente et brave
Toujours haut lèvera la tête
Car si elle devait mille fois être esclave
Bien plus encore saurait-elle être libre
Merci et à bientôt
Avec les lettres le même n'a pas succédé(arrivé). Les lettres d'Emilio Prud'Homme contenaient des erreurs dans des références historiques et quelques défauts de métrique. Quelques intellectuels dominicains de l'époque ont critiqué ces lettres et même ont écrit les nouveaux vers(poèmes) qui accompagnaient la musique de l'hymne. En 1897, Emilio Prud'Homme a publiquement présenté une version corrigée de ses lettres originales, qui a fini avec les débats et a été acceptée par tous. Ce sont les actuelles lettres de l'hymne. La même année, le président Ulysse Heureaux a envoyé un projet de loi au Congrès pour adopter Quisqueyanos Valientes comme l'hymne national dominicain, et a commencé à s'employer dans toutes les occasions officielles, mais Heureaux a été assassiné,La convulsion extraordinaire politique du commencement du XXe siècle en République dominicaine a empêché que des actions étaient prises sur les symboles de la Patrie. Mais en 1934, sous le gouvernement de Raphaël Leónidas Trujillo, le Congrès a adopté la composition d'Emilio Prud'Homme avec la musique de José Reyes comme l'Hymne National dominicain.
Quisqueyens valeureux, élevons
Notre chant avec vive émotion
Et à la face du monde montrons
Notre étendard invaincu et glorieux.
Sauve le peuple qui, intrépide et fort,
S’est élancé à la guerre jusqu’à la mort
Quand un défi guerrier de mort
Brisa ses chaînes d’esclave.
Aucun peuple ne mérite d’être libre
S’il est esclave indolent et servile
Si dans son cœur une flamme ne brûle pas
Pour allumer l’héroïsme viril.
Mais Quisqueya l’indolente et brave
Toujours haut lèvera la tête
Car si elle devait mille fois être esclave
Bien plus encore saurait-elle être libre
Merci et à bientôt
walter- Messages : 21
Date d'inscription : 15/05/2012
Age : 46
Hymne National Bresilien
Hino Nacional Brasileiro est l'hymne national du Brésil. Il a été écrit par Joaquim Osório Duque Estrada et composé par Francisco Manuel da Silva et a été adopté en 1822
Traduction en français
Les rives calmes de l'Ipiranga ont entendu
L'appel retentissant d'un peuple héroïque.
Et le soleil de la liberté, de ses rayons fulgurants,
brilla dans le ciel de la Patrie en cet instant.
Si le garant de cette égalité,
Nous l'avons conquis par la force de nos bras,
En ton sein, ô Liberté,
Notre courage défiera même la mort !
Ô, Patrie bien-aimée,
Adorée
Salut, Salut !
Brésil, un rêve intense, un rayon vivifiant,
D'amour et d'espérance descend sur la terre,
Si dans ton ciel splendide, souriant et limpide,
L'image de la Croix du Sud resplendit.
Géant par ta propre nature,
Tu es beau, tu es fort, intrépide colosse,
Et ton avenir reflète cette grandeur.
Terre adorée,
Entre milles autres,
Tu es Brésil,
Ô, Patrie bien-aimée !
Des enfants de ce sol, la mère bienveillante,
Patrie bien-aimée,
Brésil !
II
Éternellement étendu dans un berceau splendide,
Au son de la mer et à la lumière du ciel infini,
Tu resplendis, ô Brésil, fleuron de l'Amérique,
Illuminé par le soleil du Nouveau Monde !
Que les terres les plus charmantes,
Tes beaux champs joyeux ont plus de fleurs.
"Nos forêts ont plus de vie",
"Notre vie" en ton sein "plus d'amours".
Ô, Patrie bien-aimée,
Adorée
Salut, Salut !
Brésil, d'amour éternel qu'il soit le symbole,
L'étendard étoilé que tu déploies ostensiblement,
Que proclame le vert et or de cette flamme :
Paix pour l'avenir et gloire au passé.
Mais si tu élèves le glaive de la justice,
Tu ne verras aucun de tes enfant fuir le combat,
Ni même, celui qui t'adore, craindre la mort !
Terre adorée,
Entre milles autres,
Tu es Brésil,
Ô, Patrie bien-aimée !
Des enfants de ce sol, la mère bienveillante,
Patrie bien-aimée,
Brésil !
Traduction en français
Les rives calmes de l'Ipiranga ont entendu
L'appel retentissant d'un peuple héroïque.
Et le soleil de la liberté, de ses rayons fulgurants,
brilla dans le ciel de la Patrie en cet instant.
Si le garant de cette égalité,
Nous l'avons conquis par la force de nos bras,
En ton sein, ô Liberté,
Notre courage défiera même la mort !
Ô, Patrie bien-aimée,
Adorée
Salut, Salut !
Brésil, un rêve intense, un rayon vivifiant,
D'amour et d'espérance descend sur la terre,
Si dans ton ciel splendide, souriant et limpide,
L'image de la Croix du Sud resplendit.
Géant par ta propre nature,
Tu es beau, tu es fort, intrépide colosse,
Et ton avenir reflète cette grandeur.
Terre adorée,
Entre milles autres,
Tu es Brésil,
Ô, Patrie bien-aimée !
Des enfants de ce sol, la mère bienveillante,
Patrie bien-aimée,
Brésil !
II
Éternellement étendu dans un berceau splendide,
Au son de la mer et à la lumière du ciel infini,
Tu resplendis, ô Brésil, fleuron de l'Amérique,
Illuminé par le soleil du Nouveau Monde !
Que les terres les plus charmantes,
Tes beaux champs joyeux ont plus de fleurs.
"Nos forêts ont plus de vie",
"Notre vie" en ton sein "plus d'amours".
Ô, Patrie bien-aimée,
Adorée
Salut, Salut !
Brésil, d'amour éternel qu'il soit le symbole,
L'étendard étoilé que tu déploies ostensiblement,
Que proclame le vert et or de cette flamme :
Paix pour l'avenir et gloire au passé.
Mais si tu élèves le glaive de la justice,
Tu ne verras aucun de tes enfant fuir le combat,
Ni même, celui qui t'adore, craindre la mort !
Terre adorée,
Entre milles autres,
Tu es Brésil,
Ô, Patrie bien-aimée !
Des enfants de ce sol, la mère bienveillante,
Patrie bien-aimée,
Brésil !
geanilse- Messages : 8
Date d'inscription : 15/05/2012
Age : 51
Localisation : Villeneuve d'Ascq
Re: L’hymne de mon pays
Voici l'hymne libanais [paroles de Rachid Nakhlé (1873-1939), musique de Wadih Sabra (1876-1952)]. C'est l'hymne officiel du Liban depuis 1927 (pratiquement le plus ancien hymne national encore en vigueur dans un état arabe).
Traduction en français
Tous Pour la Patrie, pour la gloire et le drapeau.
Par l'épée et la plume nous marquons les temps.
Notre plaine et nos montagnes font des hommes vigoureux.
À la perfection nous consacrons notre parole et notre travail.
Tous Pour la Patrie, pour la gloire et le drapeau.
Tous Pour la Patrie.
Nos vieux et nos jeunes attendent l'appel de la patrie.
Le jour de la crise, ils sont comme les lions de la jungle.
Le cœur de notre orient demeure à jamais le Liban.
Que dieu le préserve jusqu'à la fin des temps.
Tous Pour la Patrie, pour la gloire et le drapeau.
Tous Pour la Patrie.
Sa terre et sa mer sont les joyaux des deux orients.
Ses sources de bonté envahissent les pôles.
Son nom est sa gloire depuis le début des temps.
Son cèdre est sa fierté, son symbole éternel.
Tous Pour la Patrie, pour la gloire et le drapeau.
Tous Pour la Patrie.
Traduction en français
Tous Pour la Patrie, pour la gloire et le drapeau.
Par l'épée et la plume nous marquons les temps.
Notre plaine et nos montagnes font des hommes vigoureux.
À la perfection nous consacrons notre parole et notre travail.
Tous Pour la Patrie, pour la gloire et le drapeau.
Tous Pour la Patrie.
Nos vieux et nos jeunes attendent l'appel de la patrie.
Le jour de la crise, ils sont comme les lions de la jungle.
Le cœur de notre orient demeure à jamais le Liban.
Que dieu le préserve jusqu'à la fin des temps.
Tous Pour la Patrie, pour la gloire et le drapeau.
Tous Pour la Patrie.
Sa terre et sa mer sont les joyaux des deux orients.
Ses sources de bonté envahissent les pôles.
Son nom est sa gloire depuis le début des temps.
Son cèdre est sa fierté, son symbole éternel.
Tous Pour la Patrie, pour la gloire et le drapeau.
Tous Pour la Patrie.
marcel- Messages : 2
Date d'inscription : 24/05/2012
Localisation : lille
Re: L’hymne de mon pays
L'Hymne chérifien, écrit par Ali Squalli Houssaini et dont la musique a été composée par Léo Morgan, est l'hymne national du Maroc depuis son indépendance en 1956.
Traduction en francais
Berceau des hommes libres,
Source des lumières.
Terre de souveraineté et terre de paix,
Puissent souveraineté et paix
Y être à jamais réunies.
Tu as vécu parmi des nations
Tel un titre sublime,
Emplissant chaque coeur,
Chanté par chaque langue.
Par son âme et par son corps,
Votre champion s'est levé
Et a répondu à votre appel.
Et dans ma bouche et dans mon sang,
Vos brises ont secoué
À la fois la lumière et le feu.
Mes frères, allons
Vers ce qu’il y a de plus haut.
Nous proclamerons au monde
Que c'est ici que nous vivons.
Avec pour étendard
Dieu, la Patrie, et le Roi
dalila- Messages : 3
Date d'inscription : 15/05/2012
Age : 34
Localisation : a loos
Re: L’hymne de mon pays
L’İstiklâl Marşı (Marche de l’Indépendance) est l’hymne national de la République de Turquie. Elle fut rédigée par Mehmet Akif Ersoy et adoptée officiellement le 12 mars 1921.
N'aie crainte, ce drapeau carmin flottant aux premières lueurs de l'aube ne s'éteindra jamais
Tant que la dernière cheminée de ma patrie ne s'éteindra
Il représente l'étoile de ma nation, qui scintillera
Il m'appartient, il n'appartient qu'à ma nation.
Ô croissant chéri, ne t'emporte pas, je peux donner ma vie pour toi.
Souris enfin à ma race ! Pourquoi cette violence cette rage
(Si tel est le cas) tu n'auras pas été digne de tout le sang qui a coulé pour toi
Liberté à mon peuple! méritante et croyant au Droit
Depuis toujours, j'ai vécu libre, et je vivrai libre
Je serais surpris si un fou voulait m'enchaîner.
Je suis comme un torrent rugissant, je franchis mes obstacles en les anéantissant
Je briserais les montagnes, je sortirais de mon lit, je déborderais.
Même si le monde occidental encercle mes fortifications
Mes frontières sont aussi solides que ma foi et ma fierté
Tu es forte, n'aie crainte ! Comment une telle foi pourrait-elle être étouffée
Par ce monstre édenté que tu appelles la « civilisation » ?
Camarade! Ne laisse surtout pas les infâmes entrer dans mon pays
Fais barrière de ton corps, qu'on arrête cette invasion honteuse
L'Éternel va te faire revenir aux beaux jours qu'il t'a promis
Qui sait ? Peut-être demain ? Peut-être encore avant ?
Ne considère pas là où tu marches comme de la simple « terre », apprends à la connaître
Pense au nombre de personnes qui y ont laissé leur vie
Ton père était un martyr, n'abîme pas sa triste mémoire
Même pour tout l'or du monde, ne cède pas ta patrie chérie.
Qui ne donnerait pas sa vie pour cette patrie chérie ?
Si tu presses cette terre, il va en jaillir des martyrs, oui des martyrs !
Que Dieu prenne ma vie, mon amour, tout ce que je suis,
Tant qu'il ne me sépare pas de ma patrie.
Mon esprit est avec toi, c'est cela ta divinité, ton seul but
Que ces mains étrangères ne s'approchent pas de notre temple
Ces prières aux martyrs qui sont à la base de la religion
Doivent pour toujours me pleurer dans mon pays.
Alors s'il y en a qui peuvent s'abandonner [pour leur nation] j'exalterai
De chacune de mes blessures, divinement, mon sang se vidant
Jaillira de mon lieu de naissance comme un esprit unique
Alors, ma tête s'élèvera peut-être jusqu'aux cieux
Agite-toi comme les premières aubes, ô lune sacrée
Peu importe, il est béni, mon sang qui a coulé
Vous ne tomberez jamais, toi et ma race
Vous la méritez, la souveraineté de ce drapeau qui a vécu la liberté
Vous la méritez, l'indépendance de ma nation qui a foi en Dieu
Dans la traduction française certaine mots sont des ajout et sans oublier qu'il n y pas pas de Dieu dans le texte Turc, "ALLAH" a été remplacé par "Dieu".
N'aie crainte, ce drapeau carmin flottant aux premières lueurs de l'aube ne s'éteindra jamais
Tant que la dernière cheminée de ma patrie ne s'éteindra
Il représente l'étoile de ma nation, qui scintillera
Il m'appartient, il n'appartient qu'à ma nation.
Ô croissant chéri, ne t'emporte pas, je peux donner ma vie pour toi.
Souris enfin à ma race ! Pourquoi cette violence cette rage
(Si tel est le cas) tu n'auras pas été digne de tout le sang qui a coulé pour toi
Liberté à mon peuple! méritante et croyant au Droit
Depuis toujours, j'ai vécu libre, et je vivrai libre
Je serais surpris si un fou voulait m'enchaîner.
Je suis comme un torrent rugissant, je franchis mes obstacles en les anéantissant
Je briserais les montagnes, je sortirais de mon lit, je déborderais.
Même si le monde occidental encercle mes fortifications
Mes frontières sont aussi solides que ma foi et ma fierté
Tu es forte, n'aie crainte ! Comment une telle foi pourrait-elle être étouffée
Par ce monstre édenté que tu appelles la « civilisation » ?
Camarade! Ne laisse surtout pas les infâmes entrer dans mon pays
Fais barrière de ton corps, qu'on arrête cette invasion honteuse
L'Éternel va te faire revenir aux beaux jours qu'il t'a promis
Qui sait ? Peut-être demain ? Peut-être encore avant ?
Ne considère pas là où tu marches comme de la simple « terre », apprends à la connaître
Pense au nombre de personnes qui y ont laissé leur vie
Ton père était un martyr, n'abîme pas sa triste mémoire
Même pour tout l'or du monde, ne cède pas ta patrie chérie.
Qui ne donnerait pas sa vie pour cette patrie chérie ?
Si tu presses cette terre, il va en jaillir des martyrs, oui des martyrs !
Que Dieu prenne ma vie, mon amour, tout ce que je suis,
Tant qu'il ne me sépare pas de ma patrie.
Mon esprit est avec toi, c'est cela ta divinité, ton seul but
Que ces mains étrangères ne s'approchent pas de notre temple
Ces prières aux martyrs qui sont à la base de la religion
Doivent pour toujours me pleurer dans mon pays.
Alors s'il y en a qui peuvent s'abandonner [pour leur nation] j'exalterai
De chacune de mes blessures, divinement, mon sang se vidant
Jaillira de mon lieu de naissance comme un esprit unique
Alors, ma tête s'élèvera peut-être jusqu'aux cieux
Agite-toi comme les premières aubes, ô lune sacrée
Peu importe, il est béni, mon sang qui a coulé
Vous ne tomberez jamais, toi et ma race
Vous la méritez, la souveraineté de ce drapeau qui a vécu la liberté
Vous la méritez, l'indépendance de ma nation qui a foi en Dieu
Dans la traduction française certaine mots sont des ajout et sans oublier qu'il n y pas pas de Dieu dans le texte Turc, "ALLAH" a été remplacé par "Dieu".
Dernière édition par zuleyha le Dim 10 Juin - 21:16, édité 3 fois
zuleyha- Messages : 4
Date d'inscription : 15/05/2012
Localisation : Hellemmes
Re: L’hymne de mon pays
Ce chant est écrit dans les années 1930 par le poète d'origine syrienne et de naissance égyptienne Mustafa Sadiq Al-Rafi'i. Bien que certaines sources[1] attribuent la composition musicale à l'égyptien Mohammed Abdel Wahab, le maestro Salah El Mahdi affirme que la mélodie tunisienne a été composée par le poète Ahmed Kheireddine et que la musique originale est l'œuvre de l'Égyptien Zakaria Ahmad[2], ce que confirment d'autres sources[3].
Deux vers du célèbre poème La volonté de vivre d'Abou el Kacem Chebbi ont été ajoutés à la fin du texte (« Lorsqu'un jour le peuple veut vivre... »)[4]. Salah El Mahdi indique que cet ajout est l'œuvre du nationaliste Mongi Slim en juin 1955.
TRADUCTION
[u]
Refrain :
Ô Défenseurs de la Nation !
Allons à la rencontre de la gloire !
« Mourons s'il le faut pour que vive la Patrie ! »
Clame le sang qui coule dans nos veines.
Que n'y vive point quiconque refuse d'être au nombre de ses soldats !
Tenus par notre serment de fidélité à son égard,
Nous vivrons sur son sol dans la dignité,
Ou nous mourons, pour elle, dans la grandeur.
Refrain
Sois maître de tes destinées, ô mon pays, et sois heureux !
Car il n'est point de vie pour celui qui est privé de sa souveraineté.
Mon sang bouillant est tout ce que je possède de plus cher,
Je suis prêt à en faire sacrifice pour mon pays par mon âme.
Gloire à toi, Égypte ! De la grandeur de ton peuple, demeure à jamais fière !
Regarde tes enfants se lancer, tels des lions,
À l'assaut de l'ennemi le jour du combat.
Refrain
Nous avons hérité la force des bras du bâtisseur de la grande pyramide
Des bras aussi durs que le roc de ces imposants édifices,
Et qui portent l'étendard du pays.
Cet étendard qui fait notre fierté et qui est lui-même fier d'être porté par nous.
des bras qui nous propulsent vers les plus hauts sommets,
De la gloire et de la grandeur,
Qui nous garantissent la réalisation de nos vœux,
Qui font abattre des malheurs sur les ennemis de notre Patrie,
Mais qui sont pacifiques à l'égard de ceux qui nous veulent la paix.
Refrain
Deux vers du célèbre poème La volonté de vivre d'Abou el Kacem Chebbi ont été ajoutés à la fin du texte (« Lorsqu'un jour le peuple veut vivre... »)[4]. Salah El Mahdi indique que cet ajout est l'œuvre du nationaliste Mongi Slim en juin 1955.
TRADUCTION
[u]
Refrain :
Ô Défenseurs de la Nation !
Allons à la rencontre de la gloire !
« Mourons s'il le faut pour que vive la Patrie ! »
Clame le sang qui coule dans nos veines.
Que n'y vive point quiconque refuse d'être au nombre de ses soldats !
Tenus par notre serment de fidélité à son égard,
Nous vivrons sur son sol dans la dignité,
Ou nous mourons, pour elle, dans la grandeur.
Refrain
Sois maître de tes destinées, ô mon pays, et sois heureux !
Car il n'est point de vie pour celui qui est privé de sa souveraineté.
Mon sang bouillant est tout ce que je possède de plus cher,
Je suis prêt à en faire sacrifice pour mon pays par mon âme.
Gloire à toi, Égypte ! De la grandeur de ton peuple, demeure à jamais fière !
Regarde tes enfants se lancer, tels des lions,
À l'assaut de l'ennemi le jour du combat.
Refrain
Nous avons hérité la force des bras du bâtisseur de la grande pyramide
Des bras aussi durs que le roc de ces imposants édifices,
Et qui portent l'étendard du pays.
Cet étendard qui fait notre fierté et qui est lui-même fier d'être porté par nous.
des bras qui nous propulsent vers les plus hauts sommets,
De la gloire et de la grandeur,
Qui nous garantissent la réalisation de nos vœux,
Qui font abattre des malheurs sur les ennemis de notre Patrie,
Mais qui sont pacifiques à l'égard de ceux qui nous veulent la paix.
Refrain
alaa- Messages : 5
Date d'inscription : 15/05/2012
Age : 40
Localisation : économie
Re: L’hymne de mon pays
Je vous present l'hymne de mon pays qui s'appelle "Eveille-toi"(desteaptate romane )L’hymne vient du poème « Un răsunet » (Un écho) d'Andrei Mureşanu (1816-1863), poète de facture romantique, journaliste, traducteur. La musique est de Gheorghe Ucenescu (1830-1896), chanteur et professeur de musique.À partir de 1848, « Eveille-toi, Roumain! » a été un chant très cher aux Roumains en leur insufflant le courage lors des moments cruciaux de la Guerre d'Indépendance (1877-1878) et lors de la première et de la Seconde Guerre mondiale.
Eveille-toi, Roumain, du sommeil de la mort
Dans lequel t'ont plongé les barbares tyrans.
Maintenant ou jamais construis-toi un autre destin
Devant lequel se prosterneront aussi tes cruels ennemis.
Maintenant ou jamais montrons au monde
Que dans ces mains coule toujours un sang romain
Et que dans nos cœurs nous gardons avec fierté un nom
Triomphant dans les batailles, le nom de Trajan !
Regardez, ombres grandioses, Michel, Étienne, Corvin,
La nation roumaine, vos descendants,
Avec les bras armés, avec votre feu dans les veines,
Tous crient : « Vivre libres ou mourir! ».
Prêtres, avec la croix devant ! car l'armée est chrétienne,
Sa devise est liberté et son but est sacré,
Mieux vaut mourir glorieusement en combattant,
Que d'être encore des esclaves sur notre ancienne terre !
Eveille-toi, Roumain, du sommeil de la mort
Dans lequel t'ont plongé les barbares tyrans.
Maintenant ou jamais construis-toi un autre destin
Devant lequel se prosterneront aussi tes cruels ennemis.
Maintenant ou jamais montrons au monde
Que dans ces mains coule toujours un sang romain
Et que dans nos cœurs nous gardons avec fierté un nom
Triomphant dans les batailles, le nom de Trajan !
Regardez, ombres grandioses, Michel, Étienne, Corvin,
La nation roumaine, vos descendants,
Avec les bras armés, avec votre feu dans les veines,
Tous crient : « Vivre libres ou mourir! ».
Prêtres, avec la croix devant ! car l'armée est chrétienne,
Sa devise est liberté et son but est sacré,
Mieux vaut mourir glorieusement en combattant,
Que d'être encore des esclaves sur notre ancienne terre !
Bogdan- Messages : 16
Date d'inscription : 15/05/2012
Re: L’hymne de mon pays
Hymne de la Lituanie
La musique et le texte ont été écrits en 1898 par Vincas Kudirka. ''Tautiška giesmė'' est l'hymne national de la Lituanie depuis 1919 (puis en 1988).
Vincas Kudirka (né le 31 décembre 1858 - mort le 16 novembre 1899) est un poète et médecin lituanien, à la fois auteur et compositeur de l'hymne national lituanien ''Tautiška giesmė''. Kudirka commence à écrire de la poésie en 1888. Dans le même temps, il devient plus actif dans le mouvement d'éveil national. L'année suivante, ils commencent la publication du journal clandestin ''Varpas'' ("La Cloche"). Dans ''Varpas'', en septembre 1898, il publie le texte de ''Tautiška Giesmė'', qui deviendra officiellement en 1919 l'hymne de la Lituanie.
Hymne de la Lituanie
O Lituanie, notre Patrie,
Toi, terre de vaillants hommes,
Que tes enfants puisent leur force
Dans ton glorieux passé.
Que tes enfants suivent
Les chemins de la vertu,
Qu’ils travaillent à ton profit
Et au bien-être des gens.
Que le soleil de la Lituanie
Chasse les ténèbres
Que la lumière et la vérité
Accompagnent nos actions.
Que l’amour de la Lituanie
Brûle dans nos cœurs,
Qu’au nom de cette Lituanie
Fleurisse l’unité!
Tautiška giemė
Lietuva, Tėvyne mūsų
Tu didvyrių žeme,
Iš praeities Tavo sūnūs
Te stiprybę semia.
Tegul Tavo vaikai eina
Vien takais dorybės
Tegul dirba Tavo naudai
Ir žmonių gėrybei.
Tegul saulė Lietuvoj
Tamsumas prašalina,
Ir šviesa, ir tiesa
Mūs žingsnius telydi.
Tegul meilė Lietuvos
Dega mūsų širdyse,
Vardan tos Lietuvos
Vienybė težydi!
La musique et le texte ont été écrits en 1898 par Vincas Kudirka. ''Tautiška giesmė'' est l'hymne national de la Lituanie depuis 1919 (puis en 1988).
Vincas Kudirka (né le 31 décembre 1858 - mort le 16 novembre 1899) est un poète et médecin lituanien, à la fois auteur et compositeur de l'hymne national lituanien ''Tautiška giesmė''. Kudirka commence à écrire de la poésie en 1888. Dans le même temps, il devient plus actif dans le mouvement d'éveil national. L'année suivante, ils commencent la publication du journal clandestin ''Varpas'' ("La Cloche"). Dans ''Varpas'', en septembre 1898, il publie le texte de ''Tautiška Giesmė'', qui deviendra officiellement en 1919 l'hymne de la Lituanie.
Hymne de la Lituanie
O Lituanie, notre Patrie,
Toi, terre de vaillants hommes,
Que tes enfants puisent leur force
Dans ton glorieux passé.
Que tes enfants suivent
Les chemins de la vertu,
Qu’ils travaillent à ton profit
Et au bien-être des gens.
Que le soleil de la Lituanie
Chasse les ténèbres
Que la lumière et la vérité
Accompagnent nos actions.
Que l’amour de la Lituanie
Brûle dans nos cœurs,
Qu’au nom de cette Lituanie
Fleurisse l’unité!
Tautiška giemė
Lietuva, Tėvyne mūsų
Tu didvyrių žeme,
Iš praeities Tavo sūnūs
Te stiprybę semia.
Tegul Tavo vaikai eina
Vien takais dorybės
Tegul dirba Tavo naudai
Ir žmonių gėrybei.
Tegul saulė Lietuvoj
Tamsumas prašalina,
Ir šviesa, ir tiesa
Mūs žingsnius telydi.
Tegul meilė Lietuvos
Dega mūsų širdyse,
Vardan tos Lietuvos
Vienybė težydi!
akvilina- Messages : 8
Date d'inscription : 15/05/2012
Age : 41
Re: L’hymne de mon pays
Premier couplet
Notre patrie, libre et indépendante,
Qui a vécu de siècle en siècle,
Ses enfants l'appellent aujourd'hui,
Arménie libre et indépendante.
Deuxième couplet
Voici, frère, un drapeau pour toi,
Que j'ai fait de mes mains
Les nuits où je ne dormais pas,
Je l'ai lavé de mes larmes.
Troisième couplet
Regarde-le, tricolore,
Notre symbole sacré,
Qu'il flamboie face à l'ennemi,
Que l'Arménie soit toujours glorieuse.
Quatrième couplet
La mort est partout la même,
Chacun ne meurt qu'une fois,
Mais bienheureux est celui
Qui est sacrifié pour sa nation.
Notre patrie, libre et indépendante,
Qui a vécu de siècle en siècle,
Ses enfants l'appellent aujourd'hui,
Arménie libre et indépendante.
Deuxième couplet
Voici, frère, un drapeau pour toi,
Que j'ai fait de mes mains
Les nuits où je ne dormais pas,
Je l'ai lavé de mes larmes.
Troisième couplet
Regarde-le, tricolore,
Notre symbole sacré,
Qu'il flamboie face à l'ennemi,
Que l'Arménie soit toujours glorieuse.
Quatrième couplet
La mort est partout la même,
Chacun ne meurt qu'une fois,
Mais bienheureux est celui
Qui est sacrifié pour sa nation.
venira920- Messages : 4
Date d'inscription : 24/05/2012
L' hymne national du Finlandais
'Oi maamme suomi' est l' hymne national de Finlande. Cette chanson a été écrite par Johan Ludvig Runeberg en 1846 pour un poème.
La musique a été composée par Fredrik Pacius en 1848.
L' hymne national de L’Estonie a aussi le même auteur.
Les Finlandais voulait changer d'hymne national pour la 'Finlandia' qui a été écrit par Jean Sibelius, car il ressemblait beaucoup à l'hymme Estonien.
Paroles:
Oh, notre pays, la Finlande, terre natale,
anneaux, le mot d'or!
Aucun de la vallée, et non pas de la colline,
pas d'eau est plus cher à la plage,
que la maison de campagne nord,
cher pays de votre pères.
La musique a été composée par Fredrik Pacius en 1848.
L' hymne national de L’Estonie a aussi le même auteur.
Les Finlandais voulait changer d'hymne national pour la 'Finlandia' qui a été écrit par Jean Sibelius, car il ressemblait beaucoup à l'hymme Estonien.
Paroles:
Oh, notre pays, la Finlande, terre natale,
anneaux, le mot d'or!
Aucun de la vallée, et non pas de la colline,
pas d'eau est plus cher à la plage,
que la maison de campagne nord,
cher pays de votre pères.
Hannele- Messages : 5
Date d'inscription : 24/05/2012
Age : 39
Localisation : Lille, France
l'hymne de mon pays
Palestinien
Je me nomme palestinien
J’ai gravé mon nom sur toutes les surfaces en géants caractères pour que rien ne le cache
Les lettres de mon nom
Les lettres de mon nom sont mon extension, mon existence, ma subsistance.
Mon âme en est ardente !
Palpitantes en sont mes veines !
Des monts de la rivière, les cavernes savent QUI et CE que je suis.
J’ai déployé mon trop-plein de force pour que ma nation soit.
J’entends l’appel de Saladin en mon for intérieur
(Vengeance et libération) son mon devoir d’Arabe ……..
Devoir auquel m’exhortent mes drapeaux chus sur les collines de Hattin.
Le cri du Muezzin d’AL-Aqsâ calme sa détresse
Et des milliers de captifs, des milliers de prisonniers, ils appellent massivement la Oumma ……..et la pressent instamment d’accourir à AL-Qods, foyer de la religion !
Ils appellent à une guerre qui broierait l’injustice, une guerre qui ferait trépasser le sionisme, une guerre mettant fin à l’injustice et au sionisme)
Une guerre qui brandirait haut dans le firmament le drapeau de la Palestine
Et mes mots tonneront encore et encore
Palestinien
Palestinien
Palestinien
Zuheir- Messages : 5
Date d'inscription : 21/05/2012
Hymne national de la Thaïlande
L'hymne a été composé quelques jours avec le coup d'état de 1932, et a été diffusé pour la première fois en juillet 1932. Les paroles originales sont de Khun Wichitmatra. En 1939, quand le Siam changea de nom pour devenir la Thaïlande, un concours fut organisé pour créer de nouvelles paroles et celles de Luang Saranuprapan (1896-1954) furent plébiscités. L'hymene fut officiellement adopté le 10 décembre 1939. La mélodie a été composée par Peter Feit (1883-1968) dont le nom thailandais est Phra Jenduriyang, un fils d'immigrant allemand et conseiller royal pour la musique.
Le premier ministre Phibunsongkhram décréta que l'hymne serait joué tous les jours à 8h et à 18h et que tout le monde devrait se lever pour montrer le respect envers la nation. Cette loi est toujours en vigueur aujourd'hui et l'hymne national peut être entendu sur les radios et télévisions tous les matins à 8 heures et soirs à 18 heures. Il est également joué dans les lieux publics.
La traduction en français :
La Thaïlande est faite de la chair et du sang de ses citoyens
Le sol de la mère patrie appartient à ses enfants
Et demeure leur soutient permanent sans exception
Tous les Thaïs sont résolus à rester unis
Ils chérissent la paix, mais n'ont pas peur de combattre
Ils ne laisseront jamais personne les soumettre
Ils sacrifieront chaque goutte de sang pour la Nation
Et garantir au pays une éclatante victoire.
KUNG- Messages : 5
Date d'inscription : 15/05/2012
Age : 49
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